Une fois dépistée, l'hémochromatose se soigne trés bien, sans médicament.

Les saignées ou phlébotomies restent la seule alternative pour éliminer le fer en surcharge dans le sang.
L’hémochromatose est la maladie génétique dont on obtient les meilleurs résultats thérapeutiques : c’est la seule maladie génétique que l’on peut nettement améliorer et pratiquement guérir si l’on fait un diagnostic précoce à 25-35 ans car la quantité de fer accumulée est faible (6 g en moyenne).
Les chélateurs du fer sont exceptionnellement utilisés.
Les traitements associés conduisent à l'éviction des facteurs de risque hépatotoxiques, et à l'éviction des apports médicamenteux et alimentaires en fer et en vitamine C.
En effet, quand la maladie se complique d'atteinte hépatique, pancréatique ou cardiaque, certains médicaments sont à éviter. Ce sont les digitaliques (troubles du rythme), les corticoïdes (effet diabétogène), les androgènes (risque hépatique). Quant à la vitamine C, elle augmente l'absorption intestinale du fer.

Un traitement alternatif a été expérimenté par mes soins avec une amélioration quasi instantanée du potentiel énergétique ressenti. Il s'agit d'une ancienne thérapeutique, le
hijama (saignées scarifiées d'origine chinoise et/ou arabe) remise au goût du jour, qui semble apporter des bienfaits annexes (épuration, énergétique des capillaires, redynamisation système lymphatique, …), une fois gommé le fatras théologico-dogmatique à laquelle on l'associe souvent...


L'artemisine : une possible solution dans le traitement de l’hémochromatose